Le 21 mars 2013, le Registre des Livres Indisponibles en Réédition Électronique (ReLIRE) apparaissait sur la toile et fournissait la liste des 60 000 premiers ouvrages proposés à la numérisation, ceci dans le cadre de la loi du 1er mars 2012 mettant en place les conditions juridiques relatives à l’exploitation numérique des livres indisponibles du XXe siècle.
Les réactions ne se sont pas faites attendre.
Voici un florilège de ces réactions.
- auteurs, contre l’État voleur, réclamez vos droits ! par François Bon
- Note d’intention à la BNF et au programme Relire par les éditions Ad Astra
- De la loi sur les indisponibles au registre ReLIRE : la blessure, l’insulte et la réaction en marche par Calimaq
- Réponses à François Gèze, membre du conseil scientifique du registre ReLIRE par Calimaq
- Le projet ReLIRE de la BNF, «État voleur» ? par Dominique Bry
- Benoît Peeters – Appel à la réaction contre le projet ReLIRE de la BN
- Numérisation des œuvres indisponibles: ça commence aujourd’hui par BibliObs
- La littérature en indisponibilité au pays des Lumières… éteintes par Laurent Bettoni
- Les auteurs spoliés par l’Etat ? par Pierre Assouline
- Relire : le scandaleux pillage du droit d’auteur organisé par la loi par Hubert Guillaud
- Pourquoi je refuse de figurer dans ReLIRE ! par Marc de Ferrière le Vayer
- Projet ReLIRE : Hold-up sur les écrivains par Georges Moréas